Où suis-je ?

Athéna ouvri les yeux. Autour d'elle, tout étais sombre... Elle equarquilla les yeux pour essayer d'apercevoir quelque chose, mais pas la moindre lueur ne filtrait... Un mal de crâne tenace lui enserrai la tête depuis son reveil.

Pas la moindre lumière... Elle ne savait pas où elle était. La sensation de fain qui la tennaillait lui indiqua qu'elle n'avait rien mangé depuis... depuis quand ? Aucune idée... La dernière chose dont elle se souvenait, c'était un souterrain, et des rats géants... D'ailleur... Elle y était peut-être encore, dans ce souterrain...

Elle essaya d'ouvrir la bouche pour crier, mais ses muscles refusaient de lui obéir... Elle n'arrivait même pas à lever la main devant elle. Fatiguée, elle referma les yeux et se rendormi, d'un sommeil lourd et sans rêves... Mais elle était vivante...

Le marchand Jean était dans sa cave, et regardait une porte qu'il n'avait pas ouvert depuis plus de vingt ans... Cette porte menait à des souterrains qui formaient un vaste réseau sous la ville d'Alamanthe, et qui en sortait, par endrois. Il savait que, malgrès ses interdiction, son fils Yann y était plusieurs fois déjà allé.

La dernière fois que lui-même y avait mis les pieds, il était encore un adolescent. Dernière la porte de la cave, il avait trouvé un rat, mort. Un rat de plus de 60 centimètres, qui, vu les traces de morsures qu'il portait dans le cou, avait été tué par un animal au moins deux fois plus gros. Lorsqu'il avait voulu le montrer à un ami, le cadavre avait disparut, ainsi que toutes les traces de sang.

Depuis, le souterrrain, qui servait avant au transport des marchandises, plus ou moins licites, avait été condamné.
Mais Yann avait dégagé l'entrée, et y était entré.

"J'espère qu'il va bien..."

Les craintes du père étaient justifiées...

En effet, Yann était dans le souterrain, une torche à la main. Il avait toujours eu envie de le parcourir, et, malgrès l'interdiction de son père, s'y était déjà rendu plusieurs fois. Il savait que son père s'inquiétait à propos de rats, mais lui n'en n'avait jamais croisé, ni aucun autre animal. Pas d'humains non plus. Le souterrain avait toujours été désert.

Pourtant, ce jour là, alors qu'il marchait d'un pas décidé, une torche à la main, il entendit de droles de bruits, comme de chuchottements, derrière lui. Il se retourna lentement, et c'est là qu'il les vu. Cing paires d'yeux rouges le fixaient à l'autre bout du couloir. Yann resta un instant interdit en immaginant les créatures auquels ils appartenaient, avant de s'appercevoir que, si il voulait sauver sa peau, la meilleur alternative serai encore de... Courrir !!!

Il détala comme une sourris, tourna à la première intersection afin d'essayer de semer les créatures, qui gagnaient du terrain. Et tout à coup, il se retrouva dans un cul de sac. Il n'ut pas besoin de se retourner pour sentir que les rats lui bloquaient la sortie. Il s'appercut qu'il y avait un espace entre le sol et le bas du mur, et, se jettant, à genoux, il s'y glissa. Il rempa sur quelques metres avant de déboucher dans une petite salle. Mais, dans sa fuite éperdue , sa torche s'était etteinte. Il la ralluma, et c'est là qu'il apperçut Athéna.

La pièce était minuscule, et ce qui servait de porte avait été bouché par un éboullement. La jeune fille avait donc du entrer de la même façon que lui.

Yann s'approcha d'elle. Elle respirait encore, mais son souffle était faible. Elle était brulante, la fièvre, surement. Lorsqu'il posa sa main sur son front, elle ne bougea pas. Il la secoua doucement par l'épaule.

- Mademoiselle... Mademoisselle... Réveillez-vous !

Athéna poussa un gémissement. Elle entrouvi les yeux et apperçu le garçon. Il n'avait pas l'air agressif, ce qui la rassura.

- J'ai... je veux... soif...

Yann mit quelques instants à comprendre qu'elle demandait de l'eau. C'est là qu'il s'apperçut qu'il avait perdu son sac en courrant devant les rats.

"Merde... Je peux pas la laisser sans boire... Elle est vraiment en mauvais état... J'ai plus qu'à essayer de l'ammener chez moi... "

Il pris Athéna dans ses bras. La jeune fille ne pessait vraiment plus lourd suite à cette longue diète. Puis il regarda autour de lui...

"Et... Je sors comment ? ..."

(Il s'en suivi un dure travaille de déblayage des caillasses entassées devant la porte que je ne détaillerai pas ici...)

Yann ouvrit la porte. Bonne nouvelle : aucun rat ne l'attendait.

"Bon, ben, ya plus qu'à esperer que je ne croise personne..."

(à suivre...)