Un page se dirigea sous l'imense armature du plafond du hall de l'académie. En effet, les voutes tronait à trentes metres de hauteur, et d'imposantes fenetres murales donnait à l'école un aire à la fois austère et lumineux. Aquhydro suivi le jeune page qui le mena devant le bureau du directeur, il tappa contre la vielle porte en bois finement cisselé de petites feuilles et de décoration d'imitation elfiques.
Celle ci s'ouvrit sur un grand homme en costume, une canne anglaise à la main, un paire de gants en velour noir passé sur les mains, et une chaine discrete dorée autour du cou.
Aquhydro entra et commençat:
"Bonjour, je viens ici car j'écris beaucoups de textes, et que j'aimerais les vendre à votre bibliothèque pour que les élèves puissent les étudier, et surtout, pour me payer de quoi vivre de mon écriture...
-Faites voir déclara froidement le proviseur.
Alors Aquhydro tendis à l'homme le texte suivent:
La Légende de La lune :
Une Jeune fille regarde la lune,
Chevelure d’ébène, auréolée d’argent,
Peau presque blême, paupières au fard scintillant,
Ses cils légers frôlent le vent...
La lune était encor,
En ces temps millénaires,
Une boulle toute d’or,
Flottante au gré du ciel...
Une jeune fille regarde la lune,
Les yeux fermées, le cou tendu,
Une rose sur son buste posthume,
Un habit tout de soir et de sang...
Et la fille à la lune :
« Ou va t’on maintenant ?
Je t’ai rejoint, ma lune,
Porte mes pas à présent... »
Et la lune à la fille :
« C’était mal inspiré
De m’écouter, belle fille,
Je jalouse tes beautés,
Je veux être plus belle,
Ta pâle peau d’opale,
J’en veux un diadème,
Et je veux voir tes râles !
Je veux te voir souffrire,
Je veux te voir te tordre,
Quand ta peau à pâlir,
Deviendra mon aurore !
Et la jeune princesse,
Abusée et trompée,
D’une indicible ivresse,
Se trouva transformée,
Et elle servie de corde,
Aussi bien que de peau,
Et attacha la lune,
Dans le ciel, très haut,
La lune devenue pâle,
Et de Beauté suprême,
Elle rejoint le bal,
Dans le ciel, diadème,
La lune devint pâle,
Par la peau de princesse,
Elle devint opale,
Elle éclaire mon ivresse...
Le proviseur pris un air septique, et lu longuement le texte... Aquhydro, à chaque fois qu'on lisait ses texte, se sentait dénuder, en effet, il montrait là à un homme une partie si proche de lui, qu'elle lui en semblait anatomique, et par conséquant, il se mettait à nu devant une tierce personne. Il se prostituait. Mais là, le regard du proviseur semblait vouloir, non qu'il ne suffit à celui ci de désabiller en directe Aquhydro, il lui ôtait la peau, pour fair apparaitre sa chaire, à vif, son regard penetrait le papier pour s'installer dans l'âme d'Aquhydro, d'ou il avait acces à tout! Ces yeux froids, d'un vert si pâle qu'il en semblait de glace, était un racourcis directe, de par leur air couroucé et concentré, vers l'âme de l'Eclast, qui depuis lontemps, ne s'étais jamais senti aussi nu, car toujours il était parré de la tenu moulante. Il se mit à avoir froid... de plus, la lecture semblait s'attradait, et le directeur ne daignait lever les yeux du texte, Aquhydro tremblait, se sentait aussi chétif, aussi faible qu'une de ces catins des bas fonds... Et l'autre qui scrutait son texte, interminablement, de temps en temps, il montait un surcil. Puis l'autre. les rabaissait d'un coup. Les deux. Le gauche remonte... Le droit... Les deux descendent. Le coin de la bouche de l'homme tramblotte... Le gauche monte... Aquhydro tremble sur sa chaise. Le droit suis le mouvement... Aquhydro essui de la sueur sur sa tempe. Les deux surcils redescendent... Comme sur un métronome... Aquhydro pourais sortir... Le gauche... mais il n'y arrive pas.... le droit... une fascination malseine envers cette homme... Il redescendent... cet homme qui le desabille, et le viole... Le gauche... le boque dans la vision de la scene... le droit... alors un fantasme nait dans la tête d'Aquhydro, et si... ils redescendent... dans ce mouvement de métronome, l'homme ne faisait cela qu'en... Le gauche... sachant tres bien l'état dans lequel il plongeait Aquhydro... le droit... et que celui ci s'en amusait... Les deux redescendent... Oui! Le directeur le violait... Le gauche... "Regarde, j'ai du pouvoir, j'ai en moi toute la force de tes textes"... Le droit... "toi tu souffre, tu grelotte sur ta chaise".... Ils redescendent... "et ça m'exite!"... Le gauche... Le directeur était entrain... Le droit... de violer Aquhydro!!
"-Stop!!! J'en peux plus!! Aquhydro sauta sur le bureau, arracha la feuille des mains du directeur et pointa sur lui ses imenses griffes qu'il venait de sortir... Aretez vous s'il vous plait, implora t'il.
-Ha! Enfin! Vous réagissait? J'ai cru que jamais cela ne viendrais! Je vous admire, vous etes celui qui à tenu le plus lontemps, je n'ai pas lu votre texte, mais vu votre réaction, je sais qu'il vient de vous, de votre coeur... Vous voulez bien enlevez votre arme s'il vous plait? Je vous prend 85 pieces d'Or par textes. J'attend à ce que vous fassiez fructifier notre bibliotèque. Vous donnerais tout les texte à la damede l'entré, avec à chaque fois ce mot :
Le principal saisi une feuille ou il nota "85 pieces par texte, production personnelle. Puis il signa, et appuiya un cachet de cire au bas de la lettre, il était bleu violacé, et représentait l'école. C'est une cire infalsifiable, et indétruisable, sauf en cas de vol. Ou elle s'auto détruit. Merci, et au revoir. A oui, rendez moi votre texte, je le placerais moi même dans la bibliothèque..." Il posa sur la table 85 pieces d'or dont Aquhydro se saisit.
-A oui, et, excusez moi, mais comment voulez vous que je sache si vous etes scincere sans quelques... Formalitées, bien que douloureuses? "
Aquhydro ne trouva rien à répondre et sorti, encor troublé et mal à l'aise, mais heureux d'avoir décroché un emploi, le plus payant depuis qu'il était dans Alamanthe.