A la recherche d'une plume et d'encre...

Aquhydro fillait dans les rues désertes de la rue marchandes, la seule âme qui fut fut une ombre entre deux ruelles qui furtivement passa. Aquhydro vit enfin ce qu'il cherché, au rez de chaussé d'une grande maison à colombage, entre un armurier et une boutique de vêtement, une petite enseigne en vieu bois, discrete, indiquait sobrement: "Plaisir d'Ecrire. Marteriel".
Aquhydro poussa la porte en bois clair, et pênetra dans la boutique. Une atmophere lourde sentant le vieux bois et le papier jaunis par le temps lui sauta à la gorge... il se sentais.... Comme... chez lui.
Des dizaines d'étagères remplies de livres semblants plus ou moins archaiques tronaient sur les quatres murs de la piece. Le comptoire en vieux bois sentais fort la cire, et quelques trous permetait de le savoir mité.
Un vieil homme se présenta, une paire de lunette rondes sur le nez. Ses cheveux blancs cascadaient sur son visage ridée, mais malgré l'apparance sage que dégageait son être, ses yeux malicieux inspirait une profonde sympatie.
"Bonjour jeune homme... Si vous cherchez des armes, vous êtes mal tombé, maintenant, si malgres votre caste, l'écriture vous tente, je peux vous aider...
-Je n'ai pas besoin d'aide, juste d'une plume, d'encre et de feuilles...
-Oui, je vois... Attendez... Vous avez?
-10 pieces d'or.
-Oula... C'est peu... j'ai...Attendez... L'homme commençat à fouiller dans ses multiples tiroires jusqu'a enfin s'écrier:
-Ha! Les voila! Tenez, la plume et de corbeau, elle porte malheur, mais avec un tel budjet, y'a pas mieu, et voici l'encrier. L'ancetre sorti un petit récipient qui semblait de verre noir, et le posa sur la table.
-C'est... de l'obsidienne, dit le vieil homme. C'est le seul encrier qu'il me reste je t'en fait cadeau, mais, à une seule et unique condition.
-Je vous écoute, fis Aquhydro, étonné par la raretée de la pierre.
-Vos 2 premier écris...Vous m'en ferez cadeau. Je les veux quand il seron finis, dans ma boutique. Merci.
-Oh... Pas de probleme... et... merci à vous.
- Ah! J'oubliais, tenez.
Le vieil homme sorti un cahier neuf et le posa sur son bureau.
-Oui! Merci beaucoups. mes écris vous reviendrons vite, je vous le promet. au revoir. Bien à vous. "
Un sourir au levres, Aquhydro déposa les 10 pieces sur le comptoir, à present, il était dévalisé, plus un rond, mais il avait de quoi écrir, et allait vendre ses textes. Voila comment gagner de l'argent autrement qu'en volant des bordels... tien... D'ailleur... il lui fallait raporter la liste à la Fleur de Catin avent le lever du soleil, et le retour de Lestat, pour qu'il puisse offrir à ce vampire la chasse du gigolo... ça serait la derniere fois qu'il déplirais sa liste au nez du parton.

Aquhydro entra dans la petit boutique, rien n'avais changé. A part la présence du viel homme. La boutique était vide. Alors, Aquhydro sorti de sa petit besace les deux feuilles, dessu, à la plume, dans une écriture légere ou chaque pleins et chaques déliés était à leur place, était tracée ceci:

Un vieux Roman noir

Je marche dans la rue,
Je vois des passent,
Ils sont plutôt charment,
Me rappel-incongru-...

Un vieux Roman noir,
A l’allure sinistre,
L’histoire d’un drame,
Ou la mort existe...

Je suis solitaire,
J’ai la main dans l’eau,
D’une douce rivières,
Comme dans les morceaux,

D’un vieux Roman Noir,
A l’allure sinistre,
L’histoire d’un drame,
Ou la mort existe...

Je vois les passent,
En contre plongée,
Je suis au balcon,
Comme dans les extrait...

Du vieux Roman noir,
A l’allure sinistre,
L’histoire du drame,
Ou la mort existe...

Je regarde un miroire,
J’ai les yeux gonflées,
Mais ce n’est pas l’espoir,
Comme dans le passé,

Dans l’vieux Roman noir,
A l’allure sinistre,
L’histoire de mon drame,
Ou l’amor n’existe...




Vampire

Vampire, en mon sang,
je feint l’Inconsolable,
L’Immpardonable, le Grand,
L’Inévitable. . .

De ma chair, je caresse,
Ô suave et douce ennemie,
La Mort, Ma Percheresse,
Mais jaimais je n’l’enuie,

Je frotte ma bouche,
Contre toi inconnnue,
Catin! Faible infarouche!
La jouissance m’est due!!

Oui, cette nuit, je jouis. . .
Il n’est pas plus charnel,
Plus heureux, imortel,
Mais oui, plus sombre aussi,

Ô, lumineux pecher,
Et noir absent, pourri,
Oui, Attirant, arraché,
Suave craquelure d’écorchée. . .

Il est bien sensuel,
Et bien mortelle hymne,
Cruel et sexuel,
Que l’acte de vampirisme. . .

Avant d'avoir eut le temps de faire demi tours, voici ce qu'Aquhydro découvrit :
Un papyrus enroulé avec dedans une plume et ces mots :
Aquhydro, jeune artiste, quand tu m'auras passé tes textes, prend cette plume. elle va avec l'encrier, elle est en obsidiene, un sortilege la rend ainsi maléable. Aussi, je te l'offre, sans l'encrier elle ne me sert plus.
Merci pour les textes.
Aquhdyro pris la plume et la glissa dans sa poche, en sortant de l'échope, il lui sembla entandre des pas, il s'arreta... mais rien. il se dirigea vers la bibliothèque